Effets secondaires - Yoga

Articles scientifiques

Baskaran M, Raman K, Ramani KK, Roy J, Vijaya L, Badrinath SS. (2006). Intraocular pressure changes and ocular biometry during Sirsasana (headstand posture) in yoga practitioners. Ophthalmology. 2006 Aug;113(8):1327-32. Epub Jun 27.[PubMed]

Bertschinger DR, Mendrinos E, Dosso A. (2007). Yoga can be dangerous-glaucomatous visual field defect worsening due to postural yoga. Br J Ophthalmol, Oct;91(10):1413-4 * [MEDLINE]

Corrigan, G. E. (1969). Fatal air embolism after Yoga breathing exercices. Journal of the American Medical Association, 8 december, 210(10);1923.*

Dominguez, Richard. (1982). A surgeon’s warning: Don’t do these stretches. Executive Fitness, 29 May , 13(11):2-3. *

Duval EL, Van Coster R, Verstraeten K. (1998). Acute traumatic stroke: a case of bow hunter's stroke in a child. European Journal Emergency Medecine, Jun, 5(2):259-63. Department of Paediatrics, University of Ghent, Belgium.* [PubMed]

"On voit rarement des accidents vasculaires du cervelet chez les enfants. Chez les adultes, les manipulations chiropratiques, les exercices de yoga, la chasse à l'arc et le traumatisme cervical ont tous été associés à des dommages vertébro-basilaires et des attaques ultérieures en raison d'infarctus du cervelet." (Notre traduction) (Citation originale) "Acute traumatic stroke of the cerebellum is rarely seen in children. In adults, chiropractical manipulation, yoga exercises, bow hunting and cervical trauma have all been associated with vertebrobasillar damage and subsequent stroke due to cerebellar infarction."

Eliaz, Isaac, M.D., M.S., L.Ac. (2008). Children and Yoga. 21 August.

Le Dr Eliaz se demande si le yoga est sécuritaire pour les enfants. Il rapporte ce qu'en pensent les médecins et les pédiatres. Il émet des avertissements qu'à titre de précaution les enfant devraient éviter les aspects plus ardus, soient les postures avancées, les étirements prolongés, tenir des positions pour de longues périodes et les exercices de respiration les plus avancés. Il réfère à des experts dans le domaine du yoga qui questionnent sa sécurité pour les enfants. http://www.americanyogaassociation.org/ "La présidente de l’Association Américaine de yoga, Alice Christensen, croit que le yoga n’est pas approprié pour les enfants en bas de seize ans à cause de ces effets sur le système nerveux et glandulaire qui peuvent interférer avec la croissance naturelle." ""Deux de mes bons professeurs, Rama et Lakshmanjoo, m'ont avisé des dangers que les asanas de yoga peuvent présenter pour les jeunes enfants" explique Alice Christensen sur le site de l’Association Américaine de yoga." Patricia Rockwood de l'AYA dit “Le yoga met de la pression sur différentes glandes. Il change le métabolisme et la structure du corps et cause certains changements hormonaux.” Elle pense qu'il y beaucoup d'autres activités plus adéquats pour les enfants." La conclusion de Dr Éliaz est que : "Il semble souhaitable, par mesure de précaution, pour les jeunes praticiens d'éviter les aspects les plus ardus du yoga tels que les postures avancées, les étirements prolongés, tenir des positions pour de longues périodes, et les exercices de respiration les plus avancés." [Traduction automatique] [Citation originale]

Fong, K.Y., Cheung, R.T. Yu, Y.L. Lai, C.W. and Chang, C.M. (1993). Basilar artery occlusion following yoga exercise: A case report. Clin Exp Neurol (Australia), 30:104-109.*

Gallardo MJ, Aggarwal N, Cavanagh HD, Whitson JT. (2006). Progression of glaucoma associated with the Sirsasana (headstand) yoga posture. Adv Ther, Nov-Dec;23(6):921-5.* [PubMed]

"Cet article rapporte un cas de neuropathie optique glaucomateuse et une perte progressive du champ visuel qui se sont produites chez un patient ayant pratiqué les Sirsasana (position sur la tête), une posture de yoga sur une base quotidienne pendant de nombreuses années. L'analyse du champ visuel a été réalisée grâce à la périmétrie automatisée standard. La pression intraoculaire (PIO) a été mesurée grâce à une pneumotonométrie en position assise, et dans la tête en bas. Des photographies des disques stereo-optiques ont été obtenues. L'IOP a augmenté de manière significative dans la tête en bas. Une évaluation du disque optique a révélé une nouvelle hémorragie du disque dans l'œil gauche. L'analyse du champ visuel sur une période de 2 ans a montré la progression d'un défaut arqué supérieur dans l'œil gauche. Des élévations transitoires de la PIO liés à la posture de yoga sur la tête peut conduire à des dommages glaucomateux progressifs du nerf optique et une perte du champ visuel." [Traduction automatique] [Citation originale]

Hanus SH, Homer TD, Harter DH. (1977). Vertebral artery occlusion complicating yoga exercises. Arch Neurol., Sep;34(9):574-5.* [PubMed]


"Vertebral artery occlusion developed in a young adult shortly after he had performed neck manipulations during yoga movements. Yoga exercises are a rare cause of acute medullary or cerebellar infarction."

Ikemi, Y., Ishikawa, H. Goyeche, J. R. and Sasaki, Y. (1978).“Positive” and “negative” aspects of the “altered states of consciousness” induced by autogenic training, Zen and yoga. Psychother Psychosom (Switzerland), 30(3-4):170-178

Injuries from Yoga and contraindications. (2005). International Association of Yoga Therapist. 30 p. [Texte complet]

Document de base pour une revue de la littérature présentant des articles scientifique et de presse et d'autres articles du WEB portant sur les blessures et les contre-indications associées à la pratique du yoga. Ce document inclut plusieurs articles sur les effets secondaires liés à la pratique de la méditation, de la méditation transcendantale et quelques articles sur les effets néfastes du qi gong, de la kundalini et des crises spirituelles. Présente 151 référence. Par exemple, tirées de la Presse (Brundage 2002, Campbell 2002) et d'articles scientifiques (Chan-Ob 1999, Dominguez 1982, Epstein 1981, Hanus 1977, Heide 1984, Kennedy 1976, Lazarus 1976, Lukkoff 1998, Otis 1984, Murphy 1997, Persinger 1993, Sethi 2003, Shapiro, 1982 et 1992, Walsh 1979). Jessica S. Lu, M.P.H., and Joseph M. Pierre M.D. (2007).

Johnson DB, Tierney MJ, Sadighi, PJ. (2004). Kapalabhati pranayama: breath of fire or cause of pneumothorax? Chest. May; 125(5):1951-2. (Comments in Chest, 2005, May;127(5):1863.)* [PubMed]

Rapport d'un cas. Departement de Chirurgie, Berkshire Medical Center, Pittsfield, MA 01201, États-Unis. "Le pneumothorax spontané est la cause la plus fréquente de pneumothorax. Nous rapportons un cas d'une femme de 29 ans en bonne santé qui s'est présentée au service des urgences avec un pneumothorax spontané causé par une technique de respiration de yoga appelé Kapalabhati pranayama, ou souffle du feu. Les exercices de respiration de yoga sont couramment pratiqués, et un nombre limité d'études ont montré divers avantages physiologiques de la respiration du yoga. C'est le seul rapport connu de pneumothorax spontané causé par le pranayama, mais certaines autres causes rares sont notées. Ce cas devrait illustrer le fait que des effets secondaires indésirables peuvent se produire lorsque l'on pousse le corps à des extrêmes physiologiques. " (Traduction automatique) (Citation originale)

Kashyap, AS, Anand, KP & Kashyap, S. (2007). Complications of yoga. Emergency Medicine Journal, 24(3): 231. * [PubMed]

Katz, Steven. (2003). Rebuttal to a surgeon’s warnings. International Journal of Yoga Therapy, no. 13: 43-44.*

Kennedy, R.B. (1976). Self-Induced Depersonalization Syndrome. American Journal of Psychiatry, 133(11): 1326-1328. [Am J Psychiatry] [Commentaires]

Rapporte deux cas de dépersonnalisation de gens qui faisait des techniques méditatives pour altérer leur conscience. Cas 1 : un homme d’affaire de 37 ans qui a fait des exercises de yoga à partir d’un livre, a éprouvé des sentiments d’être à l’extérieur de son corps, a eu des expériences étranges spontannées, un sentiment d’irréel. Il a dû être admis à l’hôpital à deux reprises. Ces expériences se sont poursuivit pendant 16 mois. Il a consulté un yogi qui l’a aidé et qui lui a dit que ces expériences arrivent durant la pratique spirituelle. Cas 2 : Un homme de 24 ans a utilisé des techniques de méditation recommandée par l'Institut Arica. Alors que d'abord satisfait de l'expérience, le sujet fut bientôt été incapable de conserver un emploi et a eu besoin d'aide professionnelle. Il sentait que les choses autour de lui étaient irréelles et il n’était plus capable de contrôler les expériences (fusion avec le cosmos) induites par la méditation et cela lui causait maintenant de l’anxiété. Il a consulté dans un centre de santé mentale. Rapporte également avoir interrogé un échantillon de 23 étudiant de yoga et de méditation et que tous sauf un ont eu des épisodes intermittents de dépersonnalisation et de déréalisation de légère à modérée (état de sorti du corps, sentiment de réalité altérée). Ils ne considéraient pas ces phénomènes comme anormal. "Les psychiatres devraient être conscients de ce phénomène, comme le nombre d'organisations dans le "mouvement de la conscience" est en hausse, et devrait demander aux gens manifestant dépersonnalisation au sujet de toute implication dans les activités menant à des états de conscience altérés. »« Récemment, nous avons assisté à une multiplication des groupes qui ont l'altération de la conscience de leurs membres comme l'un de leurs objectifs primaires. Ces groupes emploient des techniques nombreuses et variées et vont d'une gamme dans l'accessibilité d'organisation très médiatisés et de recherches scientifiquement comme la Méditation Transcendantale à d'obscurs organisations ésotériques qui fonctionnent complètement hors de vue du grand public mais qui ont néanmoins des adhésions substantielles." (...) "Je considérais ce nouveau mouvement visant l'altération physiologique de la conscience (par opposition à l'altération pharmacologique du début des années soixante et soixante-dix) d'être l'un des événements les plus importants sur la scène contemporaine, et je pense qu'il aura sans doute des effets dans tout le domaine de la psychologie et la psychiatrie. " (Traduction automatique) [Citation originale]

Kugler, J. (1972). Neurologische Storungen nach Yogaubungen. Neurologic disorders following yoga exercises. Med Klin. (West Germany), 15 Sep, 67(37):1195. *[En Allemand]

Lang, Eddy and Afilalo, Marc (2010). Dissection, Vertebral Artery. emedicine.medscape.com [Texte complet] "Several risk factors have been associated with the development of VAD. These include yoga."

Lu, Jessica S. & Pierre, Joseph M. (2007). Psychotic Episode Associated With Bikram Yoga. Am J Psychiatry, 164 : 1761, November. [Texte complet]

Cet article rapporte un cas de psychose provoqué par le Bikram yoga (26 postures dans une pièce chauffé à 105° F.) où l’homme de 33 ans a dû être admis involontairement à l’hôpital. Il a souffert d’hallucinations visuelles et auditives, paranoïa, pensés rapides, agitation, agressivité, sentiment de devoir lutter pour le contrôle de son esprit, etc." (...)"Ce cas démontre que bien que le yoga puisse avoir des bénéfices sur la santé physique et psychologique, il n’est pas dépourvu d’effets secondaires." (...) "Les formes intensives de yoga comme le Bikram peuvent en particulier avoir une responsabilité pour des décompensations psychotiques parmi les individus qui sont plus enclins aux psychoses à cause du stress, le manque de sommeil et "sensory deprivation" et les expériences dissociatives qui peuvent résulter de la méditation." (...) "...le yoga intensif et la méditation ont été rapportés en association avec des perceptions altérés et des épisodes psychotiques déclarés.” (Walsh 1979, Sethi 2003, Cahn-Ob 1999)

Machander, A.R. (1982). Comments on the increase of intrathoracic pressure in the practice of pranayama. Jógová Cvicení, pp. 65-70. * [In Czechoslovakian.]

Résumé: "Les pressions intra thoracique et intra-abdominale peuvent être augmentées lors de la pratique du yoga. Abhyantara kumbhaka. . . au cours des pranayama peut augmenter la pression intra thoracique de différents degrés, selon la technique utilisée. L'augmentation de la pression thoracique élève la pression veineuse avec comme conséquence un bloc veineux et l'augmentation de la pression à la fois dans le liquide cérébraux vasculaires et intracrânienne. Si la rétention du souffle avec une augmentation la pression intra thoracique dure 45 secondes, il provoque la stagnation de l'hypoxie du cerveau avec des changements métaboliques. . . Grâce au retour veineux limité, le volume cardiaque à la minute est diminué de moitié suite à la perturbation du rythme cardiaque. Par conséquent, la rétention du souffle avec une pression thoracique accrue n'est pas sans danger (accident vasculaire cérébral, l'effondrement, paroxysme de l'épilepsie, infarctus coronariens). "Une forte augmentation de la pression thoracique peut être causée par [les] conditions suivantes: 1) si la tension des muscles expiratoires thoracique est augmenté après que la glotte est fermée, 2) si bandha le uddiyana bandha est pratiquée de façon incorrecte, provoquant une pression abdominale, 3) si il y a un relâchement du diaphragme au cours de rétention du souffle et une augmentation de la pression abdominale se développe au-dessus de la cavité thoracique. Une augmentation de la pression intra-abdominale peut avoir des effets négatifs aussi pendant les asanas, si elles sont plus pratiques avec rétention du souffle plus longue et avec l'activation des muscles expiratoires (par exemple, mayurasana, penché vers l'arrière)." (...) "En conséquence, nous pouvons affirmer que la pratique incorrecte de certains exercices du yoga peut mettre en danger des personnes spécialement disposés et la pratique régulière incorrecte pourraient influencer négativement même les personnes en bonne santé." (Traduction automatique) [Citation originale]

Margo, C. E., Rowda, J. and Barletta, J. (1992). Bilateral conjunctival varix thromboses associated with habitual headstanding. American Journal of Ophthalmology, Jun 15;113(6):726-7.* [PubMed]

Mattio, T. G., T. Nishida, and M. M. Minieka. (1992). Lotus neuropathy: Report of a case. Neurology, 42:1636.*[PubMed]

Mikkonen J, Pedersen P & McCarthy PW. (2008). A survey of musculoskeletal injury among Ashtanga Vinyasa yoga practitioners. International Journal of Yoga Therapy, 18: 59–64.*

Enquête sur les blessures musculo-squelettiques chez les praticiens du yoga Ashtanga Vinyasa.

Naveen, KV, Teiles, Shirley. (2003). Swami Vivekananda Yoga Research Foundation. Yoga and Psychosis : Risks and Therapeutic Potential. Journal of Indian Psychology. Vol. 21 (1). [Texte complet]

"Il y a un grand intérêt pour la corrélation entre le yoga (spécialement la méditation) et la psychose. Quelques études ont décrit: (1) apparition de symptômes psychotiques pour la première fois après la méditation, (2) précipitation d’épisodes psychotiques aigus chez ceux avec une un historique de psychose, après la méditation ... ” La méditation, comme une intervention psychothérapeutique, a gagné en popularité (Frith, Stevens, Johnstone & Crow, 1979.) Cependant, des effets néfastes de la méditation ont aussi été rapportés, tels la dépersonnalisation, une perception altéré de la réalité, l'apparition de souvenirs auparavant réprimés, des changements élevés dans la mémoire et des conflits, (Glueck & Stroebel, 1976; Kennedy, 1976.) Des réponses négatives similaires ont été rapportées chez un des sujets plusieurs semaines après l'initiation à la Méditation Transcendantale (French, Schmid & Ingalls, 1975). Une autre étude a décrit comment des épisodes psychotiques aigus furent précipitées par de la méditation intensive chez des patients avec un historique de schizophrénie (Lazarus, 1976.) Une étude ultérieure a essayé d'analyser la corrélation entre la contemplation et la psychose (Chan-Ob & Boonyanaruthee, 1999). Des observations ont été faites chez trois patients qui ont présenté des symptômes psychotiques consécutifs à la pratique de la méditation. Chez deux d'entre eux, la perte du sommeil causé par une "mauvaise pratique” de la méditation a été trouvé comme étant la cause principale alors que pour le troisième cas, l’arrêt de la drogue fut le facteur principal. Aussi, dans le cas du Qigong, une méditation Chinoise, une série de troubles psychologiques et physiologiques suivent les entraînements inappropriés (Xu 1994). Des patients ont fait l'expérience d'une gamme de symptômes physiques et mentaux, venus à être nommés "le syndrome de la déviation de Qigong ” qui ont disparut après que leur pratique soit cessé. Dans les textes traditionnels de yoga, il a été mentionné que "par une pratique erronée de yoga, le yogi attire sur lui-même toutes les maladies ” (Hatha Yoga Pradipika (2:16). Ayuktabhyasa yogena sarvaroga samudbhavaha. Vishnudevananda, 1999).” [Traduction automatique] [Citation originale]

Robin, Mel. (2002). Injuries incurred by improper yogasana practice. In Mel Robin, A Physiological Handbook for Teachers of Yogasana. Tucson, Ariz.: Fenestra Books, pp. 511-518.

"Pratiquer les asanas (postures) de yoga à partir d'un livre, sans professeur, être trop fatigué ou avoir des faiblesses congénitales peut conduire à des blessures. Histoires de cas spécifiques : dommages neurologiques, dommages vasculaires, dommage musculaires."

Russell, W.R. (1972). Yoga and the vertebral arteries. British Medical Journal, 1:685.* [PubMed][Texte complet]

Lettre de correspondance : "Si nous voulons croire que les exercices de yoga ont été élaborées des siècles avant que la circulation du sang ait été découverte, il serait peut-être sage de rappeler que les degrés extrêmes de flexion et d'extension du cou et sa rotation au cours de certains de ces exercices (par exemple, "stand épaule" ou "Cobra") doivent être, pour certaines personnes, dangereuses pour la circulation artérielle vertébrale et antérieure." (...) "Les variétés du syndrome de l'artère basilaire semblent être précipitée par les postures du cou non naturelles, telles qu'elles peuvent se produire par exemple pendant l'anesthésie, dans un fauteuil de dentiste, chez le coiffeur pour dames, pendant la cueillette des fruits d'un arbre, en peignant un plafond, en conduite automobile, en nageant la brasse, ou en présidant une réunion. La lésion cérébrale peut être retardée, elle peut apparaître au cours de la nuit suivante, et ce retard de quelques heures, détourne l'attention de l'ancien facteur déclencheur, surtout quand c'est une attaque catastrophique ". [Traduction automatique]