Mon épouse a été victime du yoga.Dr. sc. Roger Hendrickx. Belgique. 16 décembre 2009.

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Mon épouse a été victime du yoga. À l'âge de 26 ans, elle a pratiqué le yoga pendant 4 ans. Elle a maintenant 67 ans et en subit toujours les conséquences néfastes: troubles de sommeil, troubles du rythme cardiaque, dépressions. Les médecins n'y comprennent rien. J’ai aussi connu plusieurs personnes qui ont subi de graves perturbations sur leur santé mentale et physique à cause du yoga.

Voici le témoignage de mon épouse

Je m'appelle Jenny De Smet. Je suis née en 1942, en Belgique, et je suis mariée avec Roger Hendrickx. À l'âge de 26 ans, j'ai pratiqué pendant 4 ans du hatha yoga.

Avant de commencer, mon état de santé était parfait. J'ai été attirée vers le yoga par la promesse de bien-être. L'école de yoga que je fréquentais à l’époque prétendait qu’il s’agissait de purs exercices physiques. Je me suis rendu compte très vite qu'il s'agissait de plus que cela, mais comme je suis d'une nature curieuse, j'ai voulu en savoir plus et j'ai continué à suivre les cours.

Au bout de deux années, des problèmes de nutrition se sont manifestés. Je ne mangeais plus de viande, ce qui était conseillé par l'enseignant de yoga. Je pesais à l'époque encore 40 kilos et je ne me rendais pas compte que j'étais devenue victime d'anorexie. Comme j'étais obsédée par la minceur, j'ai fréquenté des salons de beauté qui m'ont donné des traitements pour maigrir. Le résultat a été que ma poitrine a perdu sa forme et que j'ai dû passer par la chirurgie esthétique pour la faire corriger.

Ensuite, j'ai arrêté les cours de yoga. Je me suis mariée avec Roger Hendrickx et je suis partie en République Fédérale où il y avait un poste à l'Organisation Européenne de Recherches Spatiales.

Mon état de santé n'était toujours pas parfait et notre médecin généraliste m'a parlé, déjà en 1972, des effets néfastes du yoga. Je souffrais à l'époque de troubles de sommeil, d’anxiété, d’anorexie et de claustrophobie.

En 1976, nous sommes rentrés en Belgique et, petit à petit, mon état de santé s'est amélioré.

Il y a cependant ceci : en 1999, j'ai recommencé à faire quelques exercices de yoga, plus précisément, des exercices de respiration.

Je reconnais maintenant que j'ai eu énormément tort de recommencer ces exercices, car une année plus tard, j'ai eu une première pneumonie, puis ensuite une deuxième. En trois ans, j'ai eu quatre pneumonies. Je suis convaincue qu'il y a un lien entre le yoga et les pneumonies.

J'ai souffert ensuite de plusieurs maladies infectieuses : cystiques, sinusites et, en 2008, pendant les vacances d'été, une septicémie grave. Les médecins ne trouvent pas la cause de mes maladies, mais quelques-uns m'ont conseillé d'arrêter toute pratique de yoga.

Je suis convaincue que le yoga est extrêmement dangereux pour la santé humaine, aussi bien sur le plan mental que sur le plan physique.

Ce que je reproche surtout au yoga, c'est qu'il a un agenda caché
: on recrute des gens par promesses de santé et de bien-être, mais en fait ce sont des victimes qui sont endoctrinées par une discipline ésotérique qui appartient à l'hindouisme.

Jenny De Smet

Quelques-unes de mes réflexions

Le problème est que ces effets secondaires sont presque entièrement ignorés en Europe.

Le scénario est toujours le même :

1- Quelqu'un commence à faire du yoga. Il est attiré par la promesse de bien-être et de bonne santé. Au bout de quelques années, les problèmes commencent : problèmes nerveux, problèmes de sommeil, affections pneumoniques, hallucinations, anorexie.

2- Ensuite, les victimes en parlent dans leur cercle de yoga et là, on leur conseille surtout de ne pas consulter de médecins. La cause, selon les écoles de yoga, est qu'on ne met pas assez de zèle dans la pratique des exercices.

Ensuite, ça va de mal en pis et, finalement, les victimes sont dans un état déplorable et en ont pour des années à recevoir des soins médicaux.

Par défaut de preuves et par défaut d'expérience des médecins traitants, les victimes ne sont pas prises au sérieux quand elles leur racontent qu'elles croient qu'il y a un lien entre le yoga et leur maladie. Ce qui est aussi très important est que le yoga fonctionne à peu près comme une drogue. Il est très difficile de s'en détacher et il y a pas mal de victimes qui ne veulent pas croire qu'il y a un lien entre leur état de santé et la pratique du yoga.

Dr. sc. Roger Hendrickx

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